LE CENTRE SOS FAUNE SAUVAGE

SOS Faune Sauvage: Sauver, soigner, réintroduire
SOS Faune Sauvage œuvre chaque jour pour venir en aide aux animaux sauvages de la faune européenne en détresse. Orphelins, blessés sur la route, victimes de braconnage ou d’autres activités humaines, ces animaux trouvent au centre un refuge où ils sont soignés, réhabilités, puis réintroduits dans leur milieu naturel.
Basé en Haute-Vienne, le centre agit sur un vaste territoire regroupant la Haute-Vienne, la Creuse, la Corrèze, la Dordogne, le Lot et l’Indre. Il est aujourd’hui le seul établissement autorisé par les autorités à détenir, soigner, transporter et relâcher des oiseaux sauvages d’espèces protégées sur l’ensemble du Limousin.
Chaque année, plus de 3 000 appels parviennent au centre : particuliers, associations, collectivités ou services de l’État sollicitent son aide. Derrière chaque demande, une urgence, souvent liée aux activités humaines. Dans 80 % des cas, c’est un accident provoqué, directement ou indirectement, par l’homme.
Pour répondre à ces situations, une équipe passionnée, composée de salariés et de bénévoles, met toute son expertise au service de la faune. Formée à la prise en charge spécifique des espèces sauvages, elle travaille main dans la main avec des vétérinaires partenaires afin d’assurer les soins médicaux et chirurgicaux nécessaires. Grâce à ses infrastructures adaptées tel que des boxs d’hospitalisation, volières, espaces de réhabilitation... le centre peut accueillir et traiter plus de 80 oiseaux simultanément.
Mais la mission de SOS Faune Sauvage ne s’arrête pas aux soins. En redonnant une chance à chaque animal, le centre contribue activement au maintien des populations naturelles et à la préservation de la biodiversité. Il agit également sur le long terme, en menant des actions de sensibilisation auprès du grand public et en engageant, lorsque cela s’impose, des procédures en justice contre le trafic ou les atteintes aux espèces protégées.
Conformément à la réglementation, et pour garantir la tranquillité des pensionnaires, le centre n’est pas ouvert au public.